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Pour le coup, j'adore ton opinion, elle est parfaitement claire et je suis d'accord avec toi.
Ce nouveau mode de gestion, ce ne serait pas les SCOP par hasard ???
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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Pas tout à fait, pour moi, le patron doit pouvoir avoir la majorité du capital et un droit de veto sur les décisions prises par les employés (parce que si c'est pour voter des augmentations de salaires qui mettent en danger les finances de l'entreprise par exemple, on repassera) mais en effet ça se rapproche.
Je ferai un schéma de mon idée demain
Je suis intéressé et t'as qu'à le faire sur le sujet "débats". Car je me sens concerné par ce qui est coopératif et ce qui donne un pouvoir aux salariés. Mais j'ai les pieds sur terre et je ne renie pas la fonction de patron et la fait qu'il est le capital majoritaire. Je crois qu'on va bien s'entendre et j'ai hâte de découvrir ton idée !!!
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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Des tas de gens s'étonnent qu'ils restent en bas de l'échelle. Normal au lieu de se motiver à évoluer, ils regardent des conneries pareilles...
Mais si les gens qui sont en bas se motivent pour grimper l'échelle, ils contribuent au système.
L'échelle il faut la faire tomber.
You either die as a fan or wait for enough sequels to see yourself become the hater.
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Au lieu de faire descendre tout le monde en bas en faisant tomber l'échelle, mettons un escalier
Humeur du jour : J'ai raté le bus parce que mon réveil n'a pas sonné... Pourtant il était bien réglé.
Humeur du jour : J'ai raté le bus parce que mon réveil n'a pas sonné... Pourtant il était bien réglé.
Ouh je connais ça... C'est très rageant...
«Je ne blâme pas les gens pour les erreurs qu'ils commettent, mais qu'ils en assument les conséquences!» - John P. Hammond
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En prime ma mère m'a puni parce que forcément c'est de ma faute, si le réveil bugge
Antipatiks a écrit :I vaut miu péter in société qué d’mourir tout seu
Quoi??? Tu peut m'expliquer ce que ça veut dire?
Cela veux dire : Plus on est de fous, Plus on rit.
AlexS.
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Antipatiks : I vaut miu péter in société qué d’mourir tout seu
Ma traduction : il vaut mieux fêté en société que de mourir tout seul
langue Picard n'est pas faîte pour être écrit mais parler
Dernière modification par Allosaure80 (06-10-2014 13:06:23)
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Fêter ou péter? Lol, parce que ça change tout.
Humeur du jour: je nous ai réservé une petite croisière sur la mère des caraïbe aujourd'hui, petit apéro dans une piscine naturelle et dégustation de langoustes grillées sur le bateau. Ensuite, un peu de danses dominicaines pour le retour.
La vie est belle parfois.
Ah Ok, Je penser que voulais dire ça.
Je l'avais entendu à la Braderie de Lille et le mec avais fait cette traduction la.
Non Peter.
Dernière modification par Antipatiks (06-10-2014 13:21:36)
AlexS.
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http://www.nioutaik.fr/index.php/2013/0 … s-du-monde Qu'est-ce que j'ai ri
La langue Picard ne vient pas du Français, mais du Latin, certains mot se ressemble mais ça veut pas dire qu' il ont le même sens
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Heu le français vient du latin cher ami.
http://www.nioutaik.fr/index.php/2013/0 … s-du-monde Qu'est-ce que j'ai ri
La 1er photo ma tous de suite fait rappeller un film que j'adore, Signe avec Mel Gibson.
Très Bon Film que je recommande.
AlexS.
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Heu le français vient du latin cher ami.
J'ai jamais dit le contraire.
Mais on dit souvent que le Picard est une langue qui vient du Français, alors que c'est faux.
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On dit rien souvent lol, juste ça a les mêmes racine c'est tout.
Le picard et le français partagent des origines communes, au sein d'un groupe de langues apparentées, généralement dénommées " langues d'oïl ", parlées dans la France du Nord : ces langues ont évolué à partir du latin populaire amené par les légions romaines et adopté par les habitants de la Gaule, puis, à partir du 5e siècle, sous l'influence des parlers germaniques des envahisseurs francs. Le chanteur belge Julos Beaucarne disait que " le wallon est du latin venu à pied du fond des âges ". On pourrait en dire autant du picard… et aussi du français ; simplement, chacune de ces langues a emprunté un chemin légèrement différent ! Peut-être - hypothèse purement gratuite - celui du picard débute-t-il dans la manière particulière dont " nos ancêtres les Belges " (les Gaulois du Nord) prononçaient le latin des occupants, sans doute aussi a-t-il subi une influence plus forte des parlers germaniques (au Nord de la Somme, les Francs sont arrivés plus tôt et en plus grand nombre que vers le Sud, là où on parle " français " et d'autres langues d'oïl). Les échanges avec le flamand, tout proche, sont encore sensibles dans le vocabulaire et la syntaxe du picard, bien qu'il ne faille pas exagérer outre mesure leur influence.
L’un des tout premiers textes en « langue vulgaire » du Nord de la France, la Séquence de Sainte Eulalie, écrit à la fin du 9e siècle dans la région de Saint-Amand, comporte déjà des traces de picard : on y trouve des mots comme coze « chose », diaule « diable », encore utilisés de nos jours dans les conversations en « patois ». L’histoire de la littérature picarde a donc commencé il y a onze siècles !
Elle fleurit ensuite entre les 12e et 14e siècles : au moyen-âge, des écrivains prestigieux comme les Arrageois Adam de la Halle et Jean Bodel, ou, en Picardie, Jacques d’Amiens ou Robert de Clari, écrivent en picard. Plus exactement, ils utilisent une scripta hybride franco-picarde, mélange d’ « ancien français » (standard interrégional alors en cours d’élaboration) et de dialectalismes régionaux. Il en est ainsi dans toutes les régions du Nord de la France, mais la scripta picarde jouit au moyen-âge d’une popularité qui dépasse les limites de son domaine linguistique, ce qui permet à des linguistes comme Henriette Walter de parler d’une « exception picarde » : c’était la grande langue de littérature du Nord de la France, comme le Provençal était celle du Sud. Dans le même temps, les textes juridiques de l’époque (en particulier les Chartes) font un usage abondant de cette scripta picarde.
Néanmoins, le picard n’apparaît plus guère dans les textes après le 15e siècle, après s’être quasiment dilué dans le français standard ; il perd alors toute légitimité comme langue de littérature. Cela ne signifie pas pour autant qu’il disparaît de l’écrit : mais les œeuvres qui sont composées en picard à partir du 17e siècle le sont dans un but de transgression, pour marquer la complicité avec le lecteur, et surtout pour faire rire. Il y a eu une rupture, on est entré dans une nouvelle période, celle de la littérature « patoisante », telle qu’elle perdure encore de nos jours. Du coup, ce qu’il perd en légitimité, le picard le gagne en authenticité et en « pureté » : désormais, on écrit en picard pour ne pas écrire en français (alors qu’au moyen-âge on écrivait en picard en croyant écrire en français...), on « en rajoute », en quelque sorte, sur les différences avec la langue nationale, et c’est ainsi que se constitue véritablement le picard moderne comme langue littéraire.
Bref, le Latin est la base du français et de plusieurs autres langues
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