Actualités ciné

Ulfric Sombrage · 05-08-2015 13:21:03

Juger un acteur sur deux films...
Les gens vomissaient sur Heath Ledger parce qu'il avait joué dans Brokeback Moutain, et aujourd'hui ils l'adulent pour son rôle de Joker.

Greg13 · 05-08-2015 13:22:00

The voices c'était bien, un film bien déjanté et qui m'a foutu deux ou trois fois mal à l'aise ^^. Regarde le Micka ca peut t'aider a mieux juger Le gars , Buried aussi c'était pas mal mais là y a que lui à l'écran pendant 1h30 ^^

Dernière modification par Greg13 (05-08-2015 13:22:55)

Micka · 05-08-2015 14:43:45

En fait, j'ai jamais dit que je le vomissais ou qu'il allait forcément faire de la merde sur deadpool, je demande qu'à être surpris. Les deux films où je l'ai vu ne m'ont pas convaincu mais si tu me relis bien, je sous-entend que c'est peut-être dû aux mauvais scénarios ou une mauvaise direction d'acteur.

Et je n'ai jamais conspué Heath Ledger avant ou après Joker. Il était d'ailleurs très bien dans Brodeback Mountains.

Moi ne je ne demande qu'à me tromper après pour Reynolds. Je vais essayer de voir ce The voices à l'occasion alors^^. Mais j'irai pas voir deadpool avec un apriori sur Ryan.

C'est comme Ben Affleck en Batman. Je suis circonspect mais de ce que j'ai vu pour l'instant, y'a pas lieu de spécialement s'inquiéter mais seul le film me le dira. J'ai une certaine confiance en lui mais j'attends de voir.

Greg13 · 06-08-2015 23:59:09

Sony à laché une liste des ses futur blockbuster jusqu'en je sais pas combien. Outre film qui promettent de grands moments comme Bad Boy 3, Barbie, Resident Evil 6 ou encore Bad Boys 4, il y à un reboot/remake/rejesaispasquoi de Jumanji ...

Laaris · 07-08-2015 00:00:19

Et La Tour Sombre put*** !

Tim · 07-08-2015 21:45:37

« 40 ans de blockbusters hollywoodiens : Jurassic Park (1993)

http://www.premiere.fr/Cinema/News-Cine … 93-4232271

Le blockbuster a 40 ans. Pour célébrer la quarantaine d'un genre né avec Les Dents de la mer de Steven Spielberg, voici notre série d'été sur 40 ans de blockbusters de légende à Hollywood. Dix-huitième épisode : Jurassic Park.

Invincible mastodonte de l’année 1993, Jurassic Park conquiert sans peine le box-office (357 millions de dollars de recettes aux Etats-Unis et 914 millions au niveau mondial) et devient à l’époque le plus grand succès de l’histoire en dépassant E.T., réalisé onze ans plus tôt par le même Steven Spielberg. L'intense campagne marketing a en effet mis les petits plats dans les grands, si bien que nul ne peut échapper au logo du film qui fleurit aux quatre coins de la planète ni ignorer la promesse faite au public, invité à contempler pour la première fois sur grand écran plusieurs espèces de dinosaures (Tyrannosaurus Rex, velociraptor ou triceratops). Mais le slogan de l’affiche (« Il a fallu 65 millions d'années pour que cette aventure devienne possible ») symbolise aussi à merveille les coulisses de la fabrication de Jurassic Park, projet qui bénéficie des dernières avancées technologiques en matière d’effets numériques. L’histoire de la production du film se confond ainsi vertigineusement avec son scénario (lequel s’interroge sur la façon dont les hommes sont amenés à utiliser les progrès de la science), au point que ce film-charnière dans l’histoire d’Hollywood propose encore aujourd’hui une fine réflexion sur la notion même de blockbuster.

Pour Universal, la bataille commença avec l’acquisition des droits du roman de Michael Crichton, avant même sa parution. Le précieux sésame était convoité par toutes les grandes majors hollywoodiennes, qui avaient flairé la poule (ou plutôt le T-Rex) aux œufs d’or. Warner aurait ainsi aimé confier le projet à Tim Burton (auteur du carton Batman en 1989), Sony Entertainment souhaitait voir Richard Donner (réalisateur de L’Arme fatale) à l’œuvre et 20th Century Fox pensait cette histoire calibrée pour Joe Dante, le papa des Gremlins. Mais c’est bien Steven Spielberg, roi du blockbuster et vrai initiateur du genre avec le carton des Dents de la mer en 1975, qui emporte la mise. Pressé par Universal de réaliser le film avant La Liste de Schindler, le cinéaste s’entoure de techniciens légendaires pour faire vivre à l’écran les fameux dinosaures : Stan Winston (créateur des robots de Terminator) est ainsi chargé de l’animatronique, Phil Tippett, animateur de la faune de Star Wars, s’occupe des modèles réduits et du stop motion, et Dennis Muren d’ILM (la boîte pionnière en effets spéciaux, créée par George Lucas) se doit de superviser l’ensemble. Et la bonne nouvelle arrive alors que le projet est déjà bien avancé. « En pleine préproduction, Dennis Muren est venu me dire qu’il pensait pouvoir créer un dinosaure sans utiliser le stop motion », confie ainsi Spielberg à Première en 1996. Profitant alors des dernières évolutions de l’animation en images de synthèse (assistée par ordinateur), le film peut recréer les dinosaures avec une texture visuelle et une qualité de mouvement totalement inédites qui provoqueront la stupéfaction du public.

Mais le miracle de Jurassic Park, c’est aussi que l’innovation technologique qui tombe entre les mains de Steven Spielberg ne modifiera pas les idées initiales du cinéaste, et que les effets spéciaux se trouvent alors au service de la mise en scène et non l’inverse. « Cela n’a rien bouleversé de la façon dont j’avais conçu le film. Cela a seulement rendu Jurassic Park plus facile à faire et les images plus réalistes. ». De fait, le réalisateur reste fidèle à sa volonté de filmer les dinosaures comme des animaux ordinaires et non comme des monstres de foire. Le parc d’attraction conçu par le milliardaire John Hammond, où des dinosaures ont été recrées grâce aux derniers développements de la génétique, ressemble ainsi à s’y méprendre à un simple zoo ou à une réserve naturelle, impression renforcée par le fait que les personnages sont habillés comme des explorateurs effectuant un safari. Le récit, qui montre au final comment la nature reprend ses droits et punit l’arrogance d’un homme qui a voulu concurrencer Dieu, peut ainsi se déployer en toute sérénité. Face à la catastrophe qui s'abat sur les premiers visiteurs du parc, le professeur Malcolm ironise (« Quand les Pirates des Caraïbes se détraquent, les pirates ne dévorent pas les touristes »), rappelant que tous les moyens ne sont pas bons pour divertir le public. Le professeur Grant reconnaît lui dès sa première réplique qu’il « déteste les ordinateurs », comme si le film voulait mettre en garde Hollywood contre l’utilisation à mauvais escient des progrès technologiques. « Je ne crois pas que la technologie offrira de nouvelles possibilités ; elle nous permettra seulement d’obtenir plus facilement, et mieux, les images que nous avons en tête », ajoutera Spielberg. L'industrie hollywoodienne s’engouffre en tout cas rapidement dans la veine ouverte par Jurassic Park, pour le pire et pour le meilleur. On sait par exemple que George Lucas lança enfin la prélogie Star Wars une fois qu’il constata la grande sophistication des images de synthèse mises au point pour Jurassic Park.

Si l’ambition de Spielberg se rapproche de celle du personnage de John Hammond dont le rêve est de « montrer quelque chose qui ne soit pas une illusion, quelque chose de réel, que les gens puissent voir et toucher » (le cinéaste souhaitait de son côté que les spectateurs aient l’impression de vraiment voir pour la première fois des dinosaures), le cinéaste a beaucoup plus de recul sur sa création, et met en abyme le concept de blockbuster hollywoodien. Le logo présent sur l’affiche de Jurassic Park est ainsi exactement le même que celui du parc d’attraction (omniprésent dans le film, que ce soit sur les casques des ouvriers, les jeeps ou les produits dérivés comme les t-shirts ou les sodas) et le carton du long-métrage réalisera la prophétie du personnage de l’avocat : « Nous allons faire une fortune avec ce parc ». Car Universal a, de la même façon qu’Hammond, « dépensé sans compter ». Mais alors que les scientifiques sceptiques du film critiquent le projet d’Hammond, rien ne pourra empêcher le blockbuster-phare de l’été 1993 de cartonner auprès des spectateurs et surtout des enfants, décrits dans le film comme le « public-type » de Jurassic Park. Last Action Hero, qui sortit une semaine après aux Etats-Unis et essuya un flop retentissant, s’en souvient encore.

Carton historique et évènement technologique, Jurassic Park s’avère tout aussi mémorable pour son facteur humain et artistique. Le casting qui réunit des comédiens vus chez John Carpenter (Sam Neill), David Lynch (Laura Dern) ou David Cronenberg (Jeff Goldblum), offre ainsi un sentiment d’étrangeté et de folie douce à ces personnages de scientifiques qui se confrontent à l’impérial Richard Attenborough, que Spielberg a été chercher alors qu’il n’avait plus fait l’acteur depuis 15 ans. Pour le cinéaste, déjà parti tourner La Liste de Schindler en Pologne pendant qu’ILM finalisait la post-production de Jurassic Park, cette rencontre avec les dinosaures représente un important tournant filmographique. Car son drame sur la Shoah, qui sortira à la fin de la même année 1993, l’installera définitivement comme un « cinéaste adulte » et le fera enfin triompher aux Oscars en 1994 (alors que Jurassic Park se contentera le même soir de trois Oscars techniques). Jurassic Park serait-il ainsi le dernier film d’émerveillement de Spielby avant le virage plus sombre de son oeuvre ? Dean Cundey, chef opérateur de Hook et de Jurassic Park, fut en tout cas définitivement remplacé par Janusz Kaminski qui photographie depuis La Liste de Schnindler tous les films du cinéaste.

Au-delà de son discours sur les dangers de la science, Jurassic Park reste en effet fortement associé à l’idée d’enchantement, comme en témoigne le triomphe en cette année 2015 de Jurassic World (troisième succès de tous les temps à ce jour avec plus d’1,5 milliard de dollars de recettes mondiales), film de Colin Trevorrow intégralement conçu comme un hommage au Jurassic Park de 1993 (et non à ses deux suites, Le Monde Perdu du même Steven Spielberg et Jurassic Park III de Joe Johnston), à son atmosphère, à son T-Rex, à ses enfants dont les parents sont en plein divorce et à sa glorieuse musique signée John Williams. La nostalgie a certes le vent en poupe à Hollywood, mais les proportions de ce carton en disent long sur le rôle qu’occupe encore aujourd’hui Jurassic Park dans l’imaginaire de plusieurs générations de spectateurs.

Damien Leblanc (@damien_leblanc) »

El Punisher · 08-08-2015 15:15:57

Je pense que ton message aurait tout a fait sa place dans la catégorie Jurassic Park ! Cette analyse est sympa même si j'avoue ne pas aimé le côté "cinématographique professionnel", je préfère quand on parle du film en lui même et non de sa production.

Tim · 08-08-2015 15:31:15

Parfois j'hésite à poster mes messages dans tel ou tel topic.

Cette analyse n'est pas très importante en soi, c'est plutôt le côté blockbuster en général qui a retenu mon attention, puisque Les Dents de la mer, généralement considéré comme le premier blockbuster, a 40 ans cette année.

Monio · 08-08-2015 16:24:57

J'ignorais que Sony produisait des films...

Comme quoi n'importe quel société avec du pognon peut le faire,bientot sa va étre coca cola...

Greg13 · 08-08-2015 17:07:16

Sony ça fait un moment ... la trilogie Spider Man de Raimi c'est eux

Ulfric Sombrage · 08-08-2015 17:12:42

Heu non, Sam Raimi à réalisé la trilogie original (dont le premier film a été écrit par David Koepp, le scénar' de JP !)

Marc Webb a réalisé The Amazing Spiderman 1 et 2, qui eux ont été produits par Sony.

Greg13 · 08-08-2015 17:14:26

La trilogie de Raimi c'est aussi Sony ils ont les droits depuis un bail wink

Ulfric Sombrage · 08-08-2015 17:16:18

Mmh non, pour les trois films de Raimi c'est Columbia Pictures, Laura Ziskin Productions et Marvel Entertainment

Greg13 · 08-08-2015 17:20:12

Humm si, Columbia est une filiale de Sony Picture depuis les années 80 et Sony a les droits cinématographiques se Spidey depuis 99 .

(Cherche pas sur ce coup j'ai raison tongue )

Dernière modification par Greg13 (08-08-2015 18:29:56)

efde71 · 08-08-2015 20:38:32

Greg13 a écrit :

Humm si, Columbia est une filiale de Sony Picture depuis les années 80 et Sony a les droits cinématographiques se Spidey depuis 99 .
(Cherche pas sur ce coup j'ai raison )

Je valide: les studios cinéma de Sony, c'est Columbia monkey
Pour la tv c'est Sony en direct (comme les zamours ou les feux de l'amour de mémoire) barba

Greg13 · 10-08-2015 20:41:13

http://www.allocine.fr/article/ficheart … 44945.html

Si même les comédie Française se mettent à la mode des suite qui ne sont pas vraiment des suites j'abandonne roll

Tim · 10-08-2015 20:43:32

Ahhh, pouah ça puire !!!

(Je suis Gallimimus tongue )

Dernière modification par Tim (10-08-2015 20:44:30)

Ulfric Sombrage · 10-08-2015 20:47:38

Mortecouille !
J'ai jamais vu le second film, mais j'aime beaucoup le premier.

Greg13 · 10-08-2015 20:55:15

Tout le monde dit que le deuxieme est naze mais moi j'aime bien , regarde le au pire tu perdra 1h30 de ta vie ^^. Le gros défaut c'est Muriel Robin en Fredonne/Béa hmm

Tim · 10-08-2015 21:01:43

Comparé aux Visiteurs en Amérique, Les Visiteurs 2 est un chef d'oeuvre.

Oui Muriel Robin est le gros défaut du film qui reste poilant tout de même.

COUPEZ L'EAUUUU !!!

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