Vous n'êtes pas identifié(e).
Dans mon entourage, pas mal de gens reprochaient que l'on ne voyaient pas assez les dinos, mais pourtant je trouve, que de les voir un peu moins rend les scènes avec eux bien plus marquantes.
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Effectivement , et c'est plus pertinent que de remplir le moindre cm² de dinosaures
Puis dans leurs apparitions ils sont bien mis en valeurs et pas mit comme de simples figurants pour un bon nombre d'espèces comme dans Jurassic World.
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Ou la dictature du "C'était mieux avant"... une scène de Gallys, des Parasaures vus de très loin, un Dilo jamais revu depuis... Dans JW, les Ankys ont leur scène, les Patos aussi. Ça reste comparable. C'est dans JP/// qu'ils servent de figurants.
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Préparez le bûcher...
Revois le poids de tes mots, même pour rire je te dirais jamais ça.
Ou la dictature du "C'était mieux avant"... une scène de Gallys, des Parasaures vus de très loin, un Dilo jamais revu depuis... Dans JW, les Ankys ont leur scène, les Patos aussi. Ça reste comparable. C'est dans JP/// qu'ils servent de figurants.
Disons que certains dinosaures servent de figurant dans JPIII et que JW en éclipsent certains en tant que figurants au profit d'autres.
J'avoue que pour le coup, l'ankylosaure a bien un temps de gloire dans JW et je l'admets pertinemment.
Alors que JPIII l'a introduit, JW l'a montré en action.
Les parasaures vu de loin, bon on en profite pas mal dans les trois autres suites.
Ils auraient gagnés à être un peu mieux représentés dans JW mais si l'on compare leur présence dans les 3 films succédant à JP, ils ont largement compensés leur furtive apparition dans la scène des brachiosaures.
Les gallis au final, il n'était pas nécessaire de les surreprésentés.
A par courir, je ne voit pas ce qu'ils peuvent faire dans un film.
Donc, oui l'ami Spyrex nous sommes d'accord sur ces points là pour une fois !!!
Mais je suis entièrement d'accord sur le principe que la présence des dinosaures en général était beaucoup plus marquante dans JP1 car il n'y en avait moins.
Toutefois, le propos du film était un nouveau parc à thème.
Il était logique que l'on voit beaucoup de dinosaures (perso, je m'attendais à voir + de dinos).
D'où se pose une question existentielle : était-il au final nécessaire de revenir sur l'idée d'un parc sachant que le moindre présence de dinosaures était plus marquante ?
Et pour le dilo, bon je regrette qu'il ne revienne que dans un hologramme.
Il mériterait un vrai retour en beauté celui là.
Je suis surtout déçu pour la simple et bonne raison que lorsque je tapis Jurassic Park IV sur internet durant la dernière moitié des années 2000, on nous annonçait le retour du dilophosaure.
Croisons les doigts pour qe reviennent de vrais dilophosaures par la suite.
"Dans d'autres siècles, les êtres humains voulaient êtres sauvés, ou améliorés, ou libérés, ou éduqués. Mais dans le nôtre, ils veulent êtres divertis. La grande peur de notre siècle n'est pas la maladie ou la mort, mais l'ennui. Un sentiment de temps libre entre nos mains. Un sentiment de ne rien faire. Le sentiment de ne pas être divertis."
Michael Crichton
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Moi aussi,A propos du Dilophosaure, je penser le revoir dans JW, j'ai été dessus de pas en voir un "vrai",même si la scène de son apparition en hologramme était sympa.
J'ai oublié d'en parler dans ma critique.
Dernière modification par spykino (11-07-2015 18:04:14)
Tous les grands parcs d'attraction ont des retards ! Quand ils ont ouvert Disneyland en 1956, rien ne marchait... rien !
- Oui oui, mais John, quand les pirates des Caraïbes se détraquent, ils ne dévorent pas les touristes !
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Preuve que Jurassic Park peu encore nous surprendre méme quand ont est un fan intégriste qui connais le film par coeur : Je me suis rendus compte que Hammond tirait la gueule lorsque Muldoom fait sont speech sur les raptors et le carnage occasionnée par la grande
"Nous aimons croire que ce que nous avons perdus en...Folklore,nous l'avons gagné en Efficacité"
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Une oeuvre extraordinaire qui réunit une palette d'émotions extrêmement variée et qui se complémentent toutes formidablement bien entre-elles :
le drame, instauré par la mise en mouvement de la catastrophe annoncée dés le départ par la fameuse théorie du chaos dont parle Malcolm et à laquelle nous assistons impuissant en spectateur que nous sommes
La terreur, fondée par la présentation des différents prédateurs du parc qui auront tous droit à au moins une scène terrifiante durant le long-métrage
La poésie, retranscrite par la musique et mise en application lors de la scène de la découverte du troupeau de brachiosaure(s) et de parasaurolophus par les protagonistes, tous ébahis par ce spectacle ou lors de la séquence touchante dit de "l'arbre refuge"
L'humour, qui dans une moindre mesure est bien présent et est saupoudré à dose régulière par l'entremise de Malcolm principalement et de Nedry (tant sa naïveté pour se débarrasser du dilophosaure surprend et rend le personnage cocasse)
L'aventure, et quelle aventure ! Haletante de bout en bout à partir de la destruction de la clôture par le T-Rex et entrecoupée d'accalmies "poétique" (arbre refuge) ou de "science morale" (discussion entre Ellie et Hammond)
Le conte ou le voyage initiatique, on peut penser au rôle de parent que Grant rechigne à assumer au départ et qu'il se voit contraint d'endosser durant son périple dans la jungle avec les enfants, ce qui modifie son regard sur la paternité.
Enfin le grand spectacle, de part la mise en scène grandiose des effets spéciaux (numérique et animatronique) révolutionnaires pour l'époque tout en étant utilisés avec parcimonie et ingéniosité de manière à ce que ceux-ci garantissent le réalisme des créatures. Effets qui restent toujours aujourd'hui, à l'heure du tout numérique, impressionnants de réalisme dans certains plans (scène de fin notamment).
Dernière modification par JPmaniac (16-07-2015 18:01:02)
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J'ai revu le film hier : mon impression n'a pas changé par rapport à il y a quelques mois, bon mais vraiment sans plus. Je n'ai aucune vraie nostalgie envers ce film (contrairement aux autres membres du forum, du coup, ça doit jouer). Par contre, la dernière fois que j'ai vu ce film, Jurassic World n'était pas sorti mais là, en comparant avec JW, je trouve que certains dinosaures ont pris un côté vieux et dépassé niveau réalisme (le Brachiosaure fait pas réelle).
Sinon, l'histoire est bonne et les acteurs sont très bons, préférence quand même à TLW pour ma part.
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Donc ceux qui aiment JP sont forcement nostalgiques ?
Disons qu'en ayant de la nostalgie, on est moins subjectif. Avec un regard non nostalgique, on peut mieux apprécier et détester les qualités/défauts du film.
Ulfric Sombrage représente bien mon avis sur la question (sur d'autres topics), je suis d'accord avec lui même si moins sévère sur les CGI.
PS : je ne déteste pas JP, loin de là, seulement, j'ai beaucoup moins d'émerveillement sur ce film que certains ici. Je comprends totalement qu'on puisse aimer JP, le contraire serait plus étonnant. J'espère que certains ne voient pas en mon avis du dénigrement sur ce film que j'aime aussi.
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"Disons qu'en ayant de la nostalgie, on est moins subjectif"
Objectif plutôt non ?
Je pense comme toi: c'est pas parce qu'on critique le film qu'on le déteste ou qu'on est un hater sans goût. Perso, je n'aime pas Grant et je trouve le film mou, mais ça reste un très bon film quand même.
"Everybody wants to be a bodybuilder, but nobody wants to lift no heavy-ass weights"
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Oui merci de la correction ^^
Totalement d'accord, je pene que nos avis se ressemblent car nous avons pratiquement le même âge. On est né peu avant la sortie du III, on n'a pas vécu cette "dino-mania", du coup, on a pas cet émerveillement que beaucoup ont ici.
Concernant Alan Grant, je l'aime mieux dans le III (avec un personnage plus froid, distant, déçu d'avoir été manipulé par les Kirby (on aurait même pu aller plus loin dans ce thème)), dommage que le film soit pas super
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Alan du 1 fait vraiment trop papa malgré lui, ce qui me fait penser que c'est pourquoi beaucoup l'aime: ils voudraient un papa comme ça.
J'ai re-regardé JP et je me suis rendu compte que la scène de l'électrocution ne servait au final à rien.
Ca crée une fausse tension (pas besoin de ça pour flipper quand le Raptor saute sur Ellie, le cri du T. rex est suffisant), Tim s'en remet sans réel problème, et on en parle plus jamais.
"Everybody wants to be a bodybuilder, but nobody wants to lift no heavy-ass weights"
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Je suis né en 1998, j'ai regardé JP pour la première fois en 2010 je crois et c'est mon préféré donc pas de nostalgie
Ta théorie limite de psychanalyse sur Alan Grant Ulfric, c'est ....
C'est donc ça, ces nostalgiques recherchent un père en Alan.
Dernière modification par Axon (16-10-2015 20:35:26)
Perso je tiens à préciser que lorsque je parle de nostalgie, je parle bien de nostalgie de la trilogie incluant TLW et JPIII.
Contrairement à ce que certain pourraient croire, je ne fait pas un fixe sur la seule nostalgie du premier opus.
La preuve que je peux en faire fi et que j'était ouvert à autre chose qu'un JP bis.
Je le répète encore, mais JW a été fondé sur la nostalgie d'un grand public qui a boudé et oublié TLW et JPIII.
Quand j'entends parler de JW autour de moi, il est bel est bien considéré comme la suite du premier opus et non de la trilogie.
Je pense que vous pouvez oublier tout parallèle avec TLW et JPIII par la suite.
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Michael Crichton
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J'ai re-regardé JP et je me suis rendu compte que la scène de l'électrocution ne servait au final à rien.
Ca crée une fausse tension (pas besoin de ça pour flipper quand le Raptor saute sur Ellie, le cri du T. rex est suffisant), Tim s'en remet sans réel problème, et on en parle plus jamais.
ça s'appelle créer un climax, faire converger les enjeux ... tout ça.
La mort de Muldoon ne sert à rien, on en reparle encore moins que de l'électrocution de Tim.
Y'a même pas de "Le Grand Robert qui s'est pris pour un steak tartare!"
You either die as a fan or wait for enough sequels to see yourself become the hater.
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Le climax c'est à la fin des péripéties en général, alors que là il en reste pas mal de péripétie.
C'est vrai que la mort de Muldoon est expédié trop vite, j'aurais préféré qu'Ellie parle de sa mort à Hammond ou à Grant.
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Ceux que je désigne par climax c'est l'aboutissement d'une montée en tension.
Il n'est pas forcément à la fin du film, il n'y en a pas nécessairement qu'un seul, et ils peuvent être de degrés variables.
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